L’Ambassadeur de France à l’UDs
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Il a plaidé pour la consolidation des relations Cameroun France
Dschang SIC-UDs-30/06/22.Son Excellence Monsieur Christophe GUILHOU, Ambassadeur de France au Cameroun a une fois de plus séjourné à l’UDs. C’était à l’occasion d’une conférence qu’il y a tenue le jeudi 30 juin dans l’amphi 1000. « Les relations entre le Cameroun et la France après le nouveau sommet Afrique France de Montpellier », tel était le thème autour duquel monsieur l’Ambassadeur a axé son intervention. Il est question, a souligné le prestigieux orateur, de venir à la rencontre des étudiants et des étudiantes de l’Université de Dschang pour un échange cordial. Le mot de bienvenue de monsieur le Recteur de l’Université de Dschang a été délivré par monsieur le VR-EPTIC, le Pr Jean NJOYA en lieu et place du Pr Roger TSAFACK NANFOSSO empêché. Tout en souhaitant la bienvenue à monsieur l’illustre hôte, il a entre autre espéré une bonne suite aux engagements de Montpellier, non sans avoir remercié la France pour sa sollicitude constante dans la quête de la performance académique au Cameroun en général et à l’Université de Dschang en particulier. Très attendue, la prise de parole de Monsieur l’Ambassadeur s’est voulue persuasive, en réponses aux nombreuses préoccupations et attentes plus ou moins clairement exprimées par les étudiants. Il a ainsi relevé que l’objectif aujourd’hui est de renouveler les échanges entre la France et le Cameroun. Il s’agit de consolider et de construire autour de grandes thématiques, des réflexions et des propositions pour faire évoluer la coopération entre les deux pays. Il est bien question d’interroger avec un regard neuf la relation Afrique France en donnant la parole aux acteurs du renouvellement de cette relation, en particulier la jeunesse. Monsieur l’Ambassadeur a adressé ses félicitations aux jeunes camerounais au regard de la grande délégation qui a pris part au sommet de Montpellier et pour les nombreux débats qu’ils ont pu organiser en aval. Pendant la série des questions-réponses, beaucoup de préoccupations seront soulevées aussi bien dans les domaines culturels qu’éducatifs. Les étudiants ont par exemple exprimé le vœu de voir croitre le nombre de bourses françaises. La rencontre a pris fin par des prises de photos de circonstance. S.J